Comment le shilajit peut vous aider à éliminer les métaux lourds?
Depuis plusieurs années, les organisations pour la santé pointent du doigt les dangers des métaux lourds. L’OMS et plus récemment le site de la Santé Publique avertissent de leur présence dans les aliments et dans notre environnement.
« Tout est poison, rien n’est poison, c’est la dose qui fait le poison » disait l’alchimiste Paracelse. Qu’en est-il réellement ?
Les métaux lourds, c’est quoi ?
Les métaux lourds se distinguent des autres métaux par leur densité : elle doit être supérieure à 5000kg/m³ ou pour certains 4000kg/m³. Ca ne vous avance peut-être pas à grand chose de savoir ça, si ce n’est que vous pourrez ressortir ces chiffres dans un prochain diner, en mode « culture confiture ».
Si selon la définition classique il n’existe que trois métaux lourds (plomb, mercure et cadmium) on a tendance à en inclure d’autres (y compris des métalloïdes ou des composés organométalliques) comme le cuivre, le chrome, l’arsenic ou encore le méthylmercure.
Il n’existe en effet pas de définition officielle, malgré un consensus établi autour des éléments précédemment cités et d’autres qui restent en suspens (dont le zinc, pourtant excellent pour la santé à certaines doses). Le sénat français a largement débattu sur cette question et a établi un positionnement clair sur leur toxicité en 2001, déjà.
Une définition scientifique des métaux lourds
Comme vous l’aurez compris, la définition de métaux lourds va dépendre du contexte et de la personne qui l’emploie. La vérité est que le terme "heavy metal" a une signification unique selon la personne et le contexte. Si l’on s’en tient à la définition la plus rationnelle on peut définir les métaux lourds de la manière suivante :
- Etre quatre à cinq fois plus dense que l’eau (4000 à 5000kg/m³ donc)
- Avoir un numéro atomique élevé
- Avoir tendance à s’accumuler dans les tissus
- Avoir des effets toxiques sur l’environnement
Une très brève histoire des métaux lourds
René Bianchi : si son nom ne vous dit rien, vous connaissez probablement son histoire, contée par Alexandre Dumas dans La reine Margot. Parfumeur du Roi, il aurait également agi pour le compte de Catherine de Médicis en tant... qu’empoisonneur.
Pour parvenir à ses fins, il composait des mélanges à base de plomb, d’arsenic et de belladone. Plus récemment vous vous souvenez sûrement de ce passage culte du pudding à l’arsenic d’Astérix et Cléopâtre.
Plus sérieusement, si toutes les civilisations connaissaient les dangers des métaux lourds ces derniers ont commencé à devenir un véritable problème au 19ème siècle. En cause ?
Les nouvelles industries produisaient une grande quantité d’émanations.. En effet, si les métaux lourds sont naturellement présents dans la nature (feux de forêts, érosion éruption volcanique…) certains phénomènes créés ou accentués par l’homme (combustion, extraction de minerais) augmentent de manière considérable leur présence dans notre environnement direct.
Les dangers des métaux lourds : mythe ou réalité ?
Cette question vaut le coup d’être posée car elle amène à s’en poser une autre : à partir de quel moment les métaux lourds deviennent-ils dangereux ? Pourquoi notre métabolisme n’arrive-t-il plus à se débarrasser de ces substances naturellement présentes dans notre environnement et notre alimentation ?
On peut classer les métaux lourds en deux catégories :
- Les métaux organiques liés présents partout dans la nature
- Les métaux inorganiques libres libérées par la pollution et l’extraction humaine.
Une des différences fondamentales se fait ici par les termes « libres » et « liés ». En effet, les métaux organiques naturels vont être le plus souvent liés à des atomes de carbone, ce qui va les rendre moins réactifs et moins toxiques car plus facilement éliminés par le corps.
A l'inverse, les métaux libres (qui perdent leur liaisons chimiques par la combustion) vont être eux très réactifs. Ils vont endommager plus facilement vos organes car ils requièrent plus d’étapes pour leur élimination.
Le corps a cependant une capacité à accumuler les métaux organiques, ainsi que les inorganiques. Cela dépend de leurs formes et du bon fonctionnement de votre métabolisme.
Les métaux lourds dans l’alimentation
A la question souvent posée : « Votre shilajit contient-il des métaux lourds ?» nous pourrions répondre que…Tous les aliments contiennent des métaux lourds.
On nous répète que les métaux lourds sont présents dans les vêtements, tuyaux ou produits chimiques. Et nous devons être conscients que notre alimentation, même la plus saine, contient de ces fameux métaux.
L’Agence Française de Santé Publique mentionne dans son étude parue en Juillet 2021 que « 96 à 100% de la population intoxiquée aux métaux lourds ». Une réalité qui fait froid dans le dos.
Les causes ?
- Une présence tout d’abord naturelle dans les sols. Celle-ci ne devrait néanmoins pas créer de suraccumulation.
- La production alimentaire est hautement dépendante des produits chimiques largement utilisés depuis la première guerre mondiale et de manière encore plus importante après la seconde guerre mondiale.
Quelques exemples :
- Les pulvérisations de produits chimiques agricoles
- Les fumiers
- Les détergents de nettoyage à usage intensif
- Alors que faire ? Manger bio ?Chez Siho nous sommes clairement partisans d’une alimentation la plus naturelle possible malheureusement le bio n’est pas exempt de contamination. Notons l’utilisation, parfois excessive, du cuivre comme pesticide.
- 3. Une alimentation trop riche en poissons gras et produits de la mer, qui accumulent cadmium, mercure, arsenic et chrome. Mais bon… Nous sommes assez circonspects ici car rares sont les gens à consommer des quantités importantes de poisson.
Des limites officielles sur la teneur en métaux lourds existent bel et bien. Elles ont été mises en place soit par l’Organisation Mondiale de la Santé (recommandations), soit par l’Agence Européenne pour la sécurité alimentaire (EFSA), de manière plus contraignante.
Le shilajit contient-il des métaux lourds ?
Notre pot de résine de shilajit est récoltée dans des zones où l'activité humaine est faible ( l’Altaï sibérien, aux frontières de la Mongolie et du Kazakhstan) Bien que ces territoires soient éloignés (comme l’Antarctique), il n’en demeure pas moins que les métaux lourds y sont présents.
A l’état naturel, avant d’être filtré, le shilajit contient des quantités non-négligeables de toxines, moisissures, champignons et métaux lourds. C’est pourquoi il faut absolument éviter d’en consommer brut ou grossièrement raffiné.
Une fois filtré, le shilajit, ne contient plus que des traces de métaux lourds.En effet à ce jour aucun système n’est assez efficace pour éliminer toute particule. Mais rappelez-vous : pour les métabolismes les plus sensibles, même des traces peuvent avoir une incidence.
C’est pourquoi, nous vous encourageons vivement à demander ou à consulter les résultats d’analyse des métaux lourds de la société qui vous vend le shilajit, quelque soit la forme (résine ou poudre). Pourquoi ?
- Certains shilajit ne sont pas purifiés correctement (c’est ce qui a fait sonner l’alarme à l’agence de santé du Canada).
- Divulguer les analyses du shilajit prouve deux choses :
- La pureté du shilajit
- La volonté de transparence de la société qui le propose ainsi que son engagement envers des produits de qualité.
Vous trouverez les résultats détaillés de nos analyses, effectuées dans un laboratoire indépendant français à Nantes, ici.
Parce que nous sommes les premiers utilisateurs du shilajit que nous commercialisons, nous ne pouvions faire l’impasse sur une analyse complète. Est-ce que le shilajit que j’ai reçu est de bonne qualité ? Est-ce que le fournisseur ne me raconte pas de bêtises ?
Voilà les premières questions auxquelles j’ai été confronté, lorsque j’ai consommé pour la première fois du shilajit.
Le shilajit est-il dangereux pour la santé ?
Non, aucunement. Une substance qui ressemble au bitume ou à une résine, qui a une odeur forte proche de l’humus, peut sembler bien curieuse pour le néophyte.
Est-ce que ce produit peut-être consommé en toute sécurité ?
La réponse est OUI, un grand OUI. Nous allons vous parler de trois expériences, l’une toute personnelle et les deux autres, beaucoup plus scientifiques et rationnelles.
Première Expérience
La première expérience scientifique a eu lieu en 2003, au département de biochimie de l’université de Jaipur en Inde. Les trente étudiants ont absorbé chaque jour pendant 45 jours 2g de shilajit, alors que la dose journalière recommandée ne dépasse pas 0.5g. Le but était de voir si le shilajit pouvait provoquer des effets secondaires. Ce fut tout à fait le contraire : en plus d’être parfaitement neutre en terme de pression artérielle, de battements de cœur ou de prise de poids les analyses ont suggéré un effet hypolipidémiant et une forte activité antioxydante.
Deuxième Expérience
La seconde expérience scientifique a eu lieu en 2012, à l’université de Thirumalaisamudram (à vos souhaits), en Inde là encore. Après avoir donné 0.5g, 2g et 5g par kilo de poids pendant 91 jours à des rats, leurs niveaux de fer ont été étudiés : surprise, les niveaux de fer n’avaient pas bougé, malgré des doses incroyablement élevées !
Troisième expérience
La troisième expérience est celle de votre serviteur. Fatigué depuis des années, je cherchais un produit qui puisse me redonner de l’énergie de manière constante et sûre. « Sûre » était primordial car mon corps réagissait mal à l’immense majorité des compléments alimentaires que je testais.
C’est alors que je suis tombé sur le concept d’adaptogènes. J’ai dévoré le merveilleux livre: Adaptogens in Medical Herbalism: Elite Herbs and Natural Compounds for Mastering Stress, Aging, and Chronic Disease de Donald Yance.
Je vous conseille vivement d’acheter ce livre si vous lisez l’anglais. C’est là que j’y ai découvert les bienfaits du shilajit. Après l’avoir testé quelques semaines, j’ai ressenti une profonde transformation dans mon corps, un regain d’énergie incroyable et absolument aucun effet secondaire.
Porté par cet enthousiasme, le retour positif de mes proches, je décidais de commercialiser le shilajit, alors inconnu en France.
La marque SIHO venait de naître.
Le shilajit : une aide à la chélation des métaux lourds
Le shilajit est un puissant détoxifiant qui peut vous aider à éliminer les métaux lourds présents dans votre organisme. Comment? En fait, il est extrêmement riche en minéraux, plus de 85 répertoriés, dont certains aident largement à la détoxification du corps.
Le shilajit contient deux minéraux qui travaillent de concert pour neutraliser la toxicité des métaux lourds, à savoir le sélénium et le molybdène. En pénétrant en profondeur les tissus ils vont aider le corps à décomposer les toxines. Ils viendront également s’attaquer aux métaux lourds et vont aider le corps à les évacuer.
D’autres minéraux vont également aider votre corps à s’en débarrasser de manière indirecte, comme le fer et le zinc. Ils aideront à rétablir le transport, l’absorption et le métabolisme des nutriments nécessaires aux besoins vitaux des cellules.
Comme vous le savez probablement le shilajit est très riche de deux acides méconnus et pourtant d’une importance cruciale pour l’homéostasie : l’acide fulvique et l’acide humique. Lors d’une étude sur la réaction de ces deux acides en milieux aquatiques, les chercheurs ont démontré que les acides fulviques et humiques associés à des nanoparticules pouvaient aider à éliminer les métaux lourds.
Dans une autre étude réalisée sur des rats, la combinaison d’acide humique et fulvique a permis de baisser l’absorption du cadmium dans les intestins. Ils contiennent également des dibenzo-alpha pyrones, métabolites qui aident le corps à se désintoxiquer naturellement.
Conclusion
Certains aliments sont capables d'absorber les métaux lourds ou de les séparer des tissus de notre organisme (comme le shilahjit), ce qui permet d'éviter l'intoxication et de favoriser l'excrétion des métaux lourds. Suivant, le vieil adage: "'il vaut mieux prévenir, que guérir"; nous vous invitons à veiller à l'origine de votre alimentation.
il parait que le shilajit contient du mércure,estce qu il ya danger